Slaney surgit du couvert des arbres et dévala le talus sablonneux pour atterrir sur le bas-côté de la route. La forêt bordait le ruban d’asphalte à perte de vue. Il pouvait être trois heures du matin, et il évalua à environ trois kilomètres la distance le séparant du pénitencier. Il lui avait fallu une heure pour traverser le bois.