D’évidence, ce crépuscule était une nouvelle fois dédié au passé, aux morts, à la matière en putréfaction, que les couleurs inaltérables du soir d’été ramenaient à la conscience. Les coins noirs du ciel faisaient office de crêpe, les sas tamisés entre jour et ténèbres évoquaient autant de passages vers l’autre monde (…), et du cœur des Iris s’élevait un grondement continu, un bruit sourd de moteur qui figurait la détresse et les pleurs...