Il n’y a rien de plus triste que d’entendre : “je ne crois plus à la politique”.
Sans la politique, il ne peut y avoir de progrès de l’humanité. Mais un parti n’est plus une structure suffisante pour porter un enjeu qui relève du bien commun.
Les partis se préoccupent trop de ce qui se passe dans leur propre pays, dans un cadre étroitement national.
Sans aucune vision du monde.
Nous devons créer de nouvelles formes collectives.