- Ne pleure pas Vincenzo, console-toi mon garçon, là où il est ton papa ne souffre plus. Tu sais, les choses sont comme ça, comme les saisons, comme les âges de l’existence, comme le tango : quatre temps. À la fin de la musique, tu as fait ton devoir, ce pourquoi tu es venu au monde, après tu quittes la piste, tu t’en vas.