Dans les comédies romantiques, je vous raconterais que je suis rentrée un jour après le boulot et que je l’ai retrouvé en train de me tromper. Je vous dirais que j’ai hurlé, que je l’ai insulté et que lui m’a servi un « ce n’est pas ce que tu crois ! ». Parce que, soyons honnêtes, on tente toujours de prétexter que le type est un sale con pour pouvoir le quitter. Et d’après lui, ce n’est jamais ce que l’on croit. Comme si les gars bien n’existaient pas.