En résumé, chez Paul Fort, de même que chez quelques autres poètes contemporains, qui cherchèrent à renouveler la prosodie, la muette a une valeur qualitative et graduée, et non quantitative et fixe. Il est difficile qu'il n'y ait pas un peu de flottement dans l'évaluation de cette valeur, qui varie selon la place de la muette dans le mot et dans la phrase rythmée.