Chez les Couturier, les enfants ne demandaient jamais le pourquoi des choses, au risque de recevoir une gifle.
Ce qui ne les empêchait pas de l’espérer tout de même, cette réponse. Parfois, ils y avaient droit, un peu plus tard, selon le bon vouloir des parents. Toutefois, la plupart du temps, ils finissaient par la découvrir tout seuls, au fil des événements.