Champion NBA pour la deuxième fois mais au prix d'une régression dans la hiérarchie et d'un amour à jamais brisé avec sa ville natale, Kobe fond en larmes dans les douches (...) Alors que les Lakers célèbrent la victoire à grand renfort de giclées de champagne, lui est seul, plus seul que jamais. “Je sais qu'il aime être au centre de l'attention et que ça lui plaît d'être une star, mais pour rien au monde je ne voudrais être Kobe Bryant”, admet son coéquipier Robert Horry.