Le sommeil fut longtemps notre part maudite. Impensée. Impensable. La part du néant. Des anges du néant. Grande ivresse qui s’oublie. Qui n’est que l’oubli. Ce que l’on donne les yeux fermés. Il y avait là tout à penser. Cosmétique du rêve, hygiène du sommeil. Et tout ce qui s’est développé à Capitale S n’est que l’extension, certes vertigineuse, de cette idée. Ce n’est pas que la marchandisation absolue de tous ces produits pour façonner des rêves plus beaux, pour dormir à 120 %, et autres promesses diffusées nuit et jour par les néons – mais aussi la possibilité d’émergence d’une diététique du rêve et du sommeil.
Je reçois 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24 pour un bilan complet.