Je connais un mot qui invente les pas de la liberté,
Sur les seuils de la solitude,
Qui palpe l’azur d’herbe fraîche d’automne ;
Nos paupières somnambules, de suies grises.
Ce mot est ce néant qui m’inonde ;
Ce vide amnésique de mon vide qui frémit en moi...
( Je connais un mot, Niklovens Fransaint )