En assumant elle-même toute la culpabilité et en acceptant volontiers les punitions physiques, elle évite complètement les effets psychologiques de l’obéissance envers sa mère. C’est Catherine, l’enfant, et non Lapa, la mère, qui détermine le juste châtiment, modifiant ainsi radicalement sa signification, et transformant une défaite en triomphe moral personnel dont elle pourra tirer une grande satisfaction psychique.