Malheureusement, les mauvaises conditions de la vie matérielle retentissent sur l’instruction. Des bandes d’enfants traînent dans les rues ; on manque de locaux scolaires, de livres de classe, de papier, de plumes, d’instituteurs. C’est
l’effet de la guerre et du blocus, l’effet du sabotage du régime par les classes moyennes. Enfin, on doit accuser aussi l’inaptitude des Russes au travail suivi et à l’organisation. page 99