A cette époque encore, on ne comptait que peu d'apports étrangers par mariage. L'institutrice ne connaissait pour son propre compte qu'une Bretonne mariée à Bessans : c'était la mère de son cher petit élève Henri. SI pour la situer dans le village, elle parle d'apport "étranger", c'est qu'ainsi était considéré par les gens du pays quiconque ne faisait pas partie intégrante de leur communauté...