Après, on s’en remet à la sensation. Les visions, et la colère ou la peur qu’elles suscitent. Sous un échangeur, dans un girlie bar, ou devant un corps nu étendu sur le béton, c’est le besoin de hurler le monde qui nous pousse à écrire.
Qu’est-ce qui explose sinon soi-même,
la ville,
dans le cri.