Je pense à tous ces êtres humains, à cet homme, en demeurant certain, profondément, douloureusement, que oui, monsieur Bertrand, il existait un avenir, oui. Pour avoir vécu votre repentir et vos douleurs avec, vous vis-à-vis de ces gosses, je sais que vous étiez tout sauf irrécupérable, tout sauf foutu, y compris pour le bien que vous pouviez apporter de mille façons, ailleurs, je crois que vous n’aviez pas perdu la qualité d’homme, et que vous deviez, que de vous devez vivre !
J’espère que vous êtes vivant.