Pour compléter cette discussion du rôle de Maxime, il faudrait signaler que ce personnage énigmatique joue un rôle important dans les deux premiers tomes de la série que l’auteur de Science Fiction Poul Anderson a consacrée à la légende de la Ville d’Ys, Roma Mater (1986) et Gallicenae (1987). Anderson connaît bien les chroniqueurs, et son Maxime devient résolument antipathique lorsqu’il fait supplicier à Trèves les Priscillianistes.