- Je l’avais de nouveau dans mon viseur ! Il était là, impuissant, à ma merci : je tenais sa vie entre mes mains calleuses ! Je ne sais pas comment l’expliquer, c’était une sensation de toute puissance.
- Tais-toi ! Tais-toi, Klaus. Je t’en supplie !
- Je n’ai pas pu tirer ! Je voyais sa tête, la tête du führer, exploser en mille morceaux ! Mais je n’ai pas pu.