Non loin d’ici, une librairie ouverte m’a appelée. Rayon poésie : Maeterlinck ; rayon voyage : Japon, Népal… Courts moments de rêve, par papier interposé. Je n’ai rien acheté. En ressortant, m’est revenu à l’esprit que ce matin, en arrivant place Charles-Dullin, j’ai lu sur une plaque apposée sur la façade d’un immeuble avoisinant notre hôtel, que Mircea Eliade avait vécu là plusieurs années. Voilà, c’est le genre de découverte qui m’enchante. C’est ce Paris-là, avec ces petits mystères, qui m’intéresse, que j’aime.