Mariano Otero est un peintre né en Espagne en 1942 et décédé à Rennes en 2019. Il a quitté l'Espagne à la suite de son père qui fuyait le franquisme.
A l'occasion de différents passage à Dinard j'ai eu l'occasion de visiter la galerie où il exposait.
Ce très beau livre d'art ne reprend que les baigneuses alors que le peintre est également connu pour nombre de portraits ou de danseurs et danseuses.
Faire un rapprochement de ces femmes avec d'autres peintes par des peintres célèbres n'aurait aucun sens, Otero possédant son propre style.
J'ai aimé et j'aime encore ces femmes, dans leur corpulence, dans leur mouvements, dans leur féminité, même si on peut reprocher au peindre un pinceau, un crayon, une craie, une plume grossissant ou reduisant certaines parties du corps.
Je les trouve attirantes, envoutantes et, même, jolies ou jolie, car n'est-ce point toujours la même que peint l'artiste?
Sur la plage ou dans l'eau, dans leurs jeux, accompagnées qu'elles sont de cet éternel ballon multicolore, je les suis des yeux, les accompagne, déçu de ne point être à côté d'elles.
Cet ouvrage me rappelle au sentiment que j'éprouvais devant toiles, pastels, dessins, me laissant dans un tourment bouleversant et amoureusement platonique.
Un bien bel objet d'art à offrir absolument.
Merci à Babelio pour cette masse critique et aux Editions La Part Commune de me l'avoir fait parvenir.
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