Chacune de ses journées commence immuablement par la lecture, à l’aube, des relevés d’écoutes téléphoniques et rapports de surveillance de la police. Encore plus que les adversaires du Monarque, ce sont ses amis qui l’intéressent, ceux qui sont destinés selon lui à devenir un jour ou l’autre des traîtres. Il veut tout savoir d’eux, leurs fréquentations, leurs habitudes, leurs amours.