J’apaise peu à peu le monstre domestique qui s’agite encore, qui ordonne, qui aboie, qui écume. Il est trop tard, le week-end s’éteint. J’essaie de faire la paix avec le temps. J’essaie de respirer le silence. Mais j’ai le coeur qui se fissure. Un week-end de plus. Un week-end de moins dans votre enfance.