Fernand Pouillon imagine s'élever bientôt ici les immeubles d'une cité qui accueillerait dignement, et dans le mélange le plus complet, des êtres humains...pour longtemps, rajoute-t-il dans ses pensées. Au contraire de l'urgence qui préside à la réalisation d'autres grands ensembles, mais complètement dans le sillon de ceux-ci, non seulement il entend que l'on puisse s'y projeter, y installer sa vie, tout comme il l'a fait à sa plus grande surprise, dans sa maison d'Alger. (...)
Un immeuble est une musique. (p. 86)