Je tirai tranquillement sur ma clope tandis qu’Amaury et Korian nous rejoignaient sous l’érable. Ma jolie sauvageonne m’abandonna pour aller glisser tendrement sa main sur la nuque de Korian en un geste réconfortant.
Pas de problème.
J’étais pas un gars jaloux. Pas même de Korian. Bon, puis de toute façon, c’était pas comme si je pouvais lui latter la gueule.