Parce que la félicité était temporelle, individuelle, exceptionnellement à deux, très rarement à trois et jamais collective, municipale. Elle était cachée, perle dans sa coquille marine, dans certains rites ou activités cérémoniales qui offraient à l'humain des éclairs et des mirages de perfection. Il fallait se contenter de ces miettes pour ne pas vivre dans l'angoisse et le désespoir, en tendant les mains vers l'impossible.