Guimarães Rosaa écrit un roman ambigu, multiple, destiné à durer, difficilement saisissable dans sa totalité, trompeur et fascinant comme la vie immédiate, profond et inépuisable comme la réalité elle-même. C'est probablement le plus bel éloge que puisse recevoir un créateur.
A propos de Diadorim et dans la préface française de ce dernier.