L’inventivité des mouvements étudiants, leur grande compétence à analyser les situations, leur volonté affirmée de maintenir un cadre de lutte non violent, témoignent d’une politique de la vie bonne face à ce pourrissement. Le silence mortifère qui leur répond ne permet pas de dire aujourd’hui si ces luttes participeront à court, moyen ou long terme à la victoire de l’éthos démocratique.