— Il faut te détendre, insista-t-elle. Et tenir ton arme à deux mains. Tu n’es pas un cow-boy.
Elle posa les mains sur les siennes pour le guider.
Adrian avala sa salive. Elle avait des mains petites, mais on sentait dans ses doigts une assurance qui le surprit. Elle qui semblait toujours si réticente au moindre contact physique… à moins que ce ne soit encore une chose qu’il avait imaginée.