Le monde autour d’eux aurait pu s’écrouler : rien d’autre n’existait plus que le Loft. Dans cette caverne rutilante, qui ressemblait à un décor pour Playmobil, vivaient des êtres qui ne faisaient que dormir, manger, baiser, comme si un scientifique de génie leur avait enlevé le cerveau et le cœur, ne leur laissant que la peau, l’estomac et le sexe – et peut-être quelques organes inutiles, comme les amygdales ou l’appendice.