« Il aurait aimé avoir eu l’audace de s’arrêter pour acheter des préservatifs, mais il n’avait pas imaginé que sa soirée progresserait aussi idéalement. S’il devait s’adonner au sexe, ce serait sans protection. Ça ne le dérangeait pas vraiment. Si Harriet le lui proposait, il était hors de question qu’il refuse. Un homme affamé ne quitte pas un banquet parce qu’il lui manque une fourchette. De plus, Harriet était une intellectuelle, et les gens intelligents ne se transmettaient pas de maladies entre eux. Curtis en était certain. » p. 182