La réponse facile est que j'ai tendance à écrire sur mes pires cauchemars en attendant qu'ils se réalisent. Mais, que l'on parle d'Etats policiers répressifs, d'effondrement environnemental ou de technocratie kafkaïenne, ce qu'on raconte dans une dystopie futuriste décrit souvent le monde tel qu'il est déjà vécu par certains. On ne qualifie cela de dystopie que tant que ça ne nous concerne pas directement.