Aînée d’une fratrie de trois enfants, elle avait été élevée comme une fille unique puisqu’elle avait déjà quatorze ans à la naissance de Rosine, suivie six ans plus tard par celle de Paul. De belles années vécues au sein d’un foyer soudé, respectueux des valeurs fondamentales du travail, de la religion et de la communauté. L’émotion la gagnait sitôt qu’elle remontait le temps jusqu’à l’époque où chacun assumait le rôle que lui avait imparti la vie.