[…] j’avais commencé à découvrir que ce qu’on nomme communément « maladie mentale » n’est pas une « maladie » (selon l’usage consacré de ce terme en médecine psychiatrique) mais un exemple de souffrance affective entraîné par un trouble dans tout un champ de relations sociales, à commencer par la famille. Autrement dit, la « maladie mentale » reflète ce qui se produit au sein d’un groupe humain perturbé ou perturbant, surtout lorsque cela est intériorisé, et ce, par un seul individu.