A Lady Mar ; Vienne, le 16 janvier 1717. Je dois maintenant, chère sœur, prendre congé de vous pour longtemps et de Vienne pour toujours, car je projette de commencer demain mon voyage à travers la Hongrie, malgré le froid excessif et une épaisseur de neige suffisante pour abattre un courage plus grand que le mien, mais mon principe d’obéissance me fait tout braver.