Car plongé dans une lecture, le lecteur oubliait ce qui l’entourait, l’esprit accaparé par l’intrigue. C’était cela, la magie des livres : faire passer la réalité au second plan. L’histoire échafaudait autour de lui son propre univers, avec précision et amour du détail. La beauté des phrases offrait le rare privilège de rêver éveillé, tout en octroyant la possibilité de mettre un terme à son escapade, dès lors qu’il choisissait de fermer le livre.