Pour éviter le pire, le transhumanisme aspire à la perfection. Reste à savoir si la perfection vaut mieux. Les catastrophes sont toujours "parfaites", les chefs-d’œuvre jamais.
Le hasard est en voie de disparition. Or il est, aussi, la condition de la chance. Le vivant s'adapte de façon aléatoire, ce qui lui permet de tenir grand ouvert - et dangereusement, c'est vrai - l'éventail des possibles.