- Pourquoi devrait elle composer un requiem pour cinq cent cinquante et un enfants morts à Gaza ?
- Parce que cela aurait de la gueule. Elle serait considérée comme quelqu'un de bien, un esprit libre. Elle montrerait que dans la boucherie où elle est née, il y a des gens éclairés. Elle représenterait la lumière dans l'obscurité. En sachant - et personne n'est dupe - qu'elle servirait, ni plus ni moins, de cache-sexe pour tout ce que le regard répugne à voir.
[.]
- Alors elle demande : pourquoi sans arrêt, me couvre-t-on de ce sang-là ?