Citation de LiliMatoline
Chapitre 7 :
"...
- Bon, vous n'avez pas d'hélico, conclut-elle d'un ton incrédule. Vous croyez qu'on peut sortir du pays en voiture ? Vous avez un plan, au moins ?
Elles e tut, les sourcils froncés, attendant sa réponse. Elle commençait à lui chauffer les oreilles. Au lieu de poser tant de questions, elle aurait dû manifester un minimum de gratitude. Il l'avait quand même tirée des griffes de ses poursuivants. Sans son intervention, elle serait en train de souffrir le martyre. Une petite voix intérieure, celle de sa conscience, lui rappela qu'il ne faisait que reculer l'échéance et qu'il lui donnait de faux espoirs. Il s'empressa de la faire taire.
...
- Mais vous me prenez vraiment pour une débile complètement infantile ! s'exclama-t-elle d'une voix furieuse. je n'aurais jamais baissé ma garde. Je sais parfaitement que je ne saurai en sécurité qu'une fois dans un avion en partance pour les États-Unis. En attendant, je me méfie de tout et de tout le monde, si vous voyez ce que je veux dire...
...
- Cette discussion est débile et infantile, lâcha-t-il en reprenant à dessein ses mots. La frontière est surveillée par des patrouilles. les routes seront barricadées avant et après. En hélico, on se ferait descendre. Donc on ne peut pas envisager de filer droit sur la frontière. Un point, c'est tout. Est-ce que j'ai satisfait votre curiosité, cette fois ? Peut-on cesser de perdre du temps en bavardages inutiles ?
- Mais bien sûr, vous avez raison, ironisa-t-elle. Je suis vraiment débile de m'intéresser à ma sécurité. C'est totalement infantile de ma part. Je n'ai qu'à suivre aveuglément mon seigneur et maître. J'espère quand même que vous savez ce que vous faites, parce que pour l'instant, vous parlez beaucoup, mais rien ne me prouve que vous ne me menez pas en bateau."
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- Bon, vous n'avez pas d'hélico, conclut-elle d'un ton incrédule. Vous croyez qu'on peut sortir du pays en voiture ? Vous avez un plan, au moins ?
Elles e tut, les sourcils froncés, attendant sa réponse. Elle commençait à lui chauffer les oreilles. Au lieu de poser tant de questions, elle aurait dû manifester un minimum de gratitude. Il l'avait quand même tirée des griffes de ses poursuivants. Sans son intervention, elle serait en train de souffrir le martyre. Une petite voix intérieure, celle de sa conscience, lui rappela qu'il ne faisait que reculer l'échéance et qu'il lui donnait de faux espoirs. Il s'empressa de la faire taire.
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- Mais vous me prenez vraiment pour une débile complètement infantile ! s'exclama-t-elle d'une voix furieuse. je n'aurais jamais baissé ma garde. Je sais parfaitement que je ne saurai en sécurité qu'une fois dans un avion en partance pour les États-Unis. En attendant, je me méfie de tout et de tout le monde, si vous voyez ce que je veux dire...
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- Cette discussion est débile et infantile, lâcha-t-il en reprenant à dessein ses mots. La frontière est surveillée par des patrouilles. les routes seront barricadées avant et après. En hélico, on se ferait descendre. Donc on ne peut pas envisager de filer droit sur la frontière. Un point, c'est tout. Est-ce que j'ai satisfait votre curiosité, cette fois ? Peut-on cesser de perdre du temps en bavardages inutiles ?
- Mais bien sûr, vous avez raison, ironisa-t-elle. Je suis vraiment débile de m'intéresser à ma sécurité. C'est totalement infantile de ma part. Je n'ai qu'à suivre aveuglément mon seigneur et maître. J'espère quand même que vous savez ce que vous faites, parce que pour l'instant, vous parlez beaucoup, mais rien ne me prouve que vous ne me menez pas en bateau."