Sa voix donnait aux sonorités du chant une beauté à laquelle on ne s’attendait pas, et cela était encore plus flagrant lorsqu’elle chantait en gaélique, sa langue natale si étrangère aux Français. Nul accompagnement n’était nécessaire et Romaric lui avait une fois dit que ce serait gâcher la beauté de sa voix que de l’accompagner avec des instruments.