Non, ça ne va pas mieux. Pourquoi est-il revenu, Judy ? Hein, pourquoi ? demandé-je tout en faisant mine de me cogner le front de dépit contre la table.
– Je ne sais pas, chérie.
– Et chaque fois que je le vois, j’ai envie de le battre jusqu’à ce que ses dents se décrochent les unes après les autres, et la seconde qui suit, j’ai envie de fourrer ma langue dans sa bouche.
– Après lui avoir pété les dents ? Oh, non, c’est vraiment dégueulasse !
– T’es con… pouffé-je.