Michael W. Conrad

Wonder Woman est morte, elle se réveille à Asgard où chaque nuit est une fête et chaque jour un champ de bataille pour se pratiquer en attendant Ragnarok.



Alors, pourquoi se retrouve-t-elle dans le monde des morts du mauvais panthéon



La première moitié de ce comic tourne autour de cette question, et c'est honnêtement plutôt bon.



La seconde moitié cherche à conclure les points que la première moitié a délaissée. Celle-ci mène à une course poursuite à travers le multivers bourrée de scènes d'action mais où l'intrigue avance à pas de tortue.

Une bonne série mais une fin en demi-teinte et frustrante.
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Cette fois-ci nous nous éloignons des aventures de Diana pour mettre sur le devant de la scène les Amazones dans leur ensemble. Le résultat s’avère excellent et la multiplication des auteurs et des artistes fonctionnent parfaitement avec ce tumulte de personnages qui n’ont pas l’intention de rester à l’écart. Une belle réussite qui remet à plat un univers pour une nouvelle génération.
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En dépit donc de quelques éléments répétitifs, sans doute dû à la longueur de l’histoire proposée, c’est un joli voyage, jouant habilement des codes guerriers et mythologues de Wonder Woman. Une façon de découvrir différentes facettes de Diana dans le Multivers.
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Ce tome 1 de Wonder Woman Infinite est un chouette retour pour l’héroïne. La dépaysant totalement, l’équipe créative fait preuve d’une belle compréhension de l’héroïne. Même s’il y a un souci de rythme et un manque d’enjeux dans la deuxième partie, le récit reste très agréable à lire.
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Les planches de Travis Moore présentent une Diana plus réaliste, et même si elle reste absolument sublime, elle n'a plus les proportions d'une bimbo, son charme est plus naturel, basé sur un ensemble de petits gestes, de regards, de sourires, une féminité authentique et touchante !
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