En guise d’épilogue
VERS UN CESSEZ-LE-FEU DÉFINITIF ?
… ou une rage décuplée ?
Une démarche
de réparation
Le 25 février 2022, l’auteur a adressé à l’Église de France une demande de réparation, au vu d’événements à caractère pédophile survenus dans son enfance, alors qu’il venait d’entrer au petit séminaire de Thonon-les-Bains. Un document (récit autobiographique), capital à ses yeux, accompagnait sa demande. Cette requête adressée à l’INIRR (Instance Nationale Indépendante de Reconnaissance et de Réparation) devrait trouver son aboutissement avant l’été 2023 avec la décision du collège d’experts transmis à l’intéressé par le Secrétariat de l’INIRR.
Le lecteur trouvera dans le dossier qui suit les 3 éléments constitutifs de cette requête, à savoir :
- le témoignage à charge produit par la victime ;
- la synthèse patiemment élaborée avec son référent ;
- la décision de l’INIRR.
À la fin du livre, place donc au suspense ! Peut-être aussi, sinon au happy-end espéré, du moins à la fin de la Guerre de Trente Ans et à la pacification intérieure d’un guérillero bientôt octogénaire.
Même si rien n’est réglé quant au fond du sujet qui nous a occupés : ce n’est pas parce que les représentants de l’Institution catholique font amende honorable – ou non – que la question du divin et de ses débordements est tranchée. Ni non plus parce que FLIP-FLOP n’existerait pas, qu’il ne faut pas brocarder le concept pour mieux l’achever, après l’avoir si possible violé !
Seule certitude : l’enfance abusée.