Parue en mars 2018, cette petite plaquette de poèmes (50 p. ) imprimée sur un beau papier est le premier recueil publié par Michel Carlon. On comprend bien par là l'importance pour l'auteur de ces quelques mots envoyés au monde qui résument une vie entière, de l'enfance à l'âge mûr.
Le passage de notes sur un petit carnet à une forme d'expression plus ambitieuse marque un tournant dans la vie de l'auteur qui, apprend-on, a renoncé à son métier d'informaticien pour s'installer dans le Béarn et y taquiner la muse, comme on dit.
On croise dans ce recueil aussi bien les mots sublimes de l'amour que le trivial d'une visite à la déchetterie ou encore « un chien qui aboie si fort qu'on en a mal aux mollets. »
On peut être touché. Ou pas. A quoi tient la poésie … C'est si personnel.
Je trouve cependant malheureux que le soin apporté à l'impression ne soit pas le même que celui apporté à la relecture. Pourquoi laisser passer « cet ode » sur le rabat de présentation, pourquoi « innoffensive », pourquoi « enkilosé », pourquoi « cueuillir » ? J'arrête là, car on pourrait continuer et compter les fautes m'attriste.
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C'est un recueil de poésie tout en finesse qui regroupe des moments joyeux mais aussi plus triste.
Ses poésies sont tournées vers la nature, le renouveau et l'art.
Un très beau hymne à la vie .
Je trouve que l'écriture est enrichissante et belle. Un beau recueil.
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Je tiens à remercier Babelio et l'échappée belle édition pour m'avoir offert l'opportunité de découvrir ce recueil dans le cadre de la masse critique.
Michel Carlon, dans ce court recueil de poésie, nous invite à partager certains moments marquants de sa vie ou de son quotidien à travers des vers joyeux ou parfois tristes. Ces poèmes m'ont permis de moi-même me remémorer de bons ou mauvais souvenirs. A la manière de Michel Carlon, on se questionne sur notre place dans cette vie et ce qu'elle met sur notre chemin. Un bon moment de lecture vite consommé, je dirais même qu'il a un goût de trop peu.
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