La grande faiblesse de l'homme par rapport à l'animal, c'est de savoir qu'il va mourir, mais il ne sait pas quand et comment, et cela lui pourrit la vie. Maintenant qu'il savait, l'épouvante avait fui. Il était devenu inaccessible à la peur. Il était habité d'un sentiment de sérénité et de paix qu'il n'avait jamais connu auparavant.
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