Les héritiers intellectuels de Dostoïevski, philosophes, théologiens et même savants, devront se débrouiller avec cette remise en cause radicale de la prééminence de la science. Ils auront à résoudre le problème suivant, légué par le romancier: peut-on concevoir et pratiquer une science qui ne soit pas synonyme d'assèchement de l'esprit, de négation de la liberté et des aspirations spirituelles de l'homme?