À Ravensbrúck, pas de cimetière ,mais des charniers,des morts sans respect ,sans fête, sans sépulture.... ici on meurt sans savoir d'où vient le coup.Une obsession mortelle ,vague et tenace nous envahit,nous détruit. La vérité du camp ,c'est cela : Une scène de folie grotesque effrayante ,dont nous sommes les macabres marionnettes. En moi subsiste une réalité rayonnante ,celle des rêves qu'Agénor entretient comme un brasier( page 194)