Et si on voyait les RO (rectifications de l’orthographe) comme un point de départ vers une écriture moins alambiquée ? On secouerait l’immobilisme qui afflige l’orthographe française, ce qui aurait des répercussions positives sur l’apprentissage, la motivation et le décrochage scolaire… L’orthographe n’est pas une fatalité, une incongruité que l’on n’a pas le choix de subir: c’est un artéfact qu’on peut modeler p. 137