Même si le bus se vide au fur et à mesure, les deux jeunes gens ne bougent pas une seule fois. Par peur sans doute. Peur de briser ce lien si précieux à leurs yeux. Peur de découvrir le regard de l’autre et d’y retrouver la gêne du début. Peur de se réveiller tout en découvrant avoir vécu leur plus beau rêve.