Dès lors, l’enthousiasme de certain-e-s analystes, des pouvoirs publics et des entrepreneur-e-s pour la visibilisation, la professionnalisation et la pérennisation de ces formes de travail, pose question. Qui en bénéficie au quotidien ? Et quid des profits individuels et collectifs réalisés grâce à ces transformations de l’organisation du travail ?