Riaz marmonna une brève repartie en espagnol qui fit rire Matthias, mais Adria n’entendit que les battements frénétiques de son cœur qui cognait en rythme avec le sien quand il la prit dans ses bras. Trop vite, pour lui comme pour elle, et leur peau était trop chaude.
— Pourquoi fais-tu ça ? chuchota-t-elle, la gorge à vif.
Riaz répondit comme si on lui arrachait les mots de la bouche.
— Je ne peux pas m’en empêcher.