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Critiques de Nari Kusakawa (4)
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La magie d'Opale, Tome 2 :

La veille de mon départ en Irlande, pour évacuer le stress et tenter de penser à chose, j’avais besoin d’une lecture courte et distrayante. Je me suis tout naturellement tournée vers un manga et j’ai choisi ce deuxième tome car j’avais envie de continuer la série. J’aurais mieux fait de m’abstenir car, malheureusement, je n’ai pas vraiment apprécié cette lecture. Je n’étais sans doute pas dans les meilleures conditions pour la savourer mais je pense que, même si j’avais eu tous mes esprits, j’aurais quand même été déçue par cette découverte. Je n’ai pas retrouvé la magie, l’humour et la fraicheur du premier tome et j’ai carrément été déstabilisée par le dernier tiers de ce volume… Je continuerai la saga jusqu’au bout car elle est courte, mais j’espère vraiment que le troisième opus me réconciliera avec l’histoire de Cello !



Comme dans le tome précédent, celui-ci est divisé en plusieurs petits épisodes relatant chacun un évènement survenu dans la vie de Cello, sur l’île d’Opale. Les trois sont différents et apportent chacun leur lot d’informations et une avancée relationnelle entre les personnages. Le premier épisode met en scène l’arrivée d’un prince étranger sur l’île, prince qui semble beaucoup apprécier la petite Cello et qui passe beaucoup de temps avec elle… ce qui ne plaît pas forcément au professeur Guel (et non Guey comme j’ai pu le dire dans une précédente vidéo). L’histoire suivante est en fait un flash-back qui revient sur la rencontre de l’héroïne avec son oiseau - Yoyo - quelques années plus tôt. Alors qu’elle n’était pas du tout destinée à devenir colormancienne, Cello trouve un œuf et celui-ci éclot dans ses mains… Nari Kusakawa nous présente les prémisses de cette amitié, c’est intéressant et plutôt émouvant. Le dernier mini-chapitre insiste sur la relation ambigüe existant entre Cello et l’infirmier de l’école (le professeur Guel), mais je ne pourrai pas vous en dire plus, car je n’ai pas plus de souvenirs !



Jusque là, rien de particulier. Je n’ai pas adoré ces trois épisodes, je n’ai pas autant souri que lors de ma lecture du premier tome mais cette découverte m’a tout de même légèrement changé les idées. En revanche, et c’est là que le bât blesse, j’ai été complètement déstabilisée par le dernier tiers de ce manga. En effet, arrivée à la fin du troisième (enfin sixième, puisqu’on compte ceux du premier opus) épisode, je vois le titre « Le contrat du papillon » sur une nouvelle page, accompagné du dessin d’une jeune fille totalement inconnue. Bon, je ne réfléchis pas et je continue ma progression. Et là, je me dis : « mais euh, j’ai loupé un truc ? C’est qui cette nana ? Quel est le rapport avec La Magie d’Opale ? » Pendant un temps j’ai cru que j’étais si peu concentrée que j’avais loupé un évènement important… mais en fait non. Figurez-vous que l’éditeur a décidé de faire du remplissage et de nous caler ce one-shot à la fin de ce deuxième tome. L’histoire en elle-même n’est pas désagréable, mais je me sens un peu flouée sur la marchandise, voyez-vous. Je paye pour avoir 200 pages consacrées à La Magie d’Opale, aux aventures de Cello et je me retrouve avec environ 60 pages complètement hors-sujet… Encore une fois, l’histoire est intéressante et le dessin plutôt sympa ; mais pourquoi ?! Il manquait des pages, il restait de la place alors hop hop hop, on balance un truc ni vu ni connu ?! Mais… non !!! Si encore on était prévenu du départ… mais non, même pas ! Et si ça se trouve, c’est comme ça pour les tomes suivants ! Il aurait mieux valu faire un volume de moins mais rassembler plus de mini-épisodes de la Magie d’Opale sur chacun…



Niveau dessins, je n’épiloguerai pas car je n’ai pas plus de choses à dire que dans ma chronique de l’opus précédent… je ne ferai que répéter - pour enfoncer le clou - que c’est quand même dommage d’être en présence d’un manga en noir et blanc alors que le thème principal de cette histoire, ce sont les couleurs vives des oiseaux et de l’île d’Opale de façon générale…





Bref. Je n’étais pas dans les meilleures conditions pour apprécier cette lecture mais si j’avais été dans le bon état d’esprit, je pense tout de même que j’aurais eu du mal à avaler le coup du one-shot glissé à la fin du tome. A voir ce que donnera le volume suivant, si je le trouve un jour d’occasion.
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La magie d'Opale, tome 1

Une nouvelle fois, la découverte de ce manga s’est faite grâce à Matilda, qui me gâte décidément beaucoup trop… Merci à toi d’élargir ma culture dans le domaine !

Je sors de cette lecture un peu surprise (mais dans le bon sens) et finalement convaincue ! Il s’agit une nouvelle fois d’une série plutôt courte (6 tomes sont sortis au Japon, si je ne me trompe pas), ce qui me permettra donc d’acquérir la suite et fin sans trop me ruiner et assez rapidement, je l’espère !



En fait, et c’est la chose qui m’a le plus surprise pendant ma lecture, il ne s’agit pas d’un tome qui raconte une histoire unique, mais un volume qui rassemble trois petits épisodes complètement différents.

La découverte de Cello et de son univers et le kidnapping de son oiseau correspondent à la première aventure.

La suivante met en scène un trafiquant et son équipe qui mettent au point un plan pour voler tous les oiseaux de l’île… Cello et le professeur Guel unissent leur force pour rétablir la vérité et arrêter les méchants !

Enfin, le dernier épisode apporte un joli rapprochement avec Guel, qu’on apprend à connaître et à apprécier grâce à une anecdote liée à son enfance.

Même s’il m’a surprise au début, j’ai vraiment beaucoup apprécié ce découpage atypique. C’est un peu comme si on suivait un anime, une petite aventure correspondant à un tout petit épisode de 20 minutes… ce qui a l’avantage d’apporter de la diversité dans les aventures de l’héroïne et offre aussi un côté assez « léger ».



Mis à part ce format, j’ai également apprécié l’originalité de l’histoire (des colormanciens qui prélèvent la couleur de leurs oiseaux pour la déplacer sur un autre support, c’est quand même pas banal !) et surtout les personnages principaux : Cello et le professeur Guel et évidemment, la relation qui se met en place entre eux…

Cello est une jeune fille amusante, qui ne baisse pas les bras malgré ses échecs et qui a beaucoup à offrir (aux autres personnages comme aux lecteurs). Le professeur Guel est craquant (c’est un peu le cas de tous les personnages masculins dans les mangas… d’ailleurs je vote pour que de telles créatures existent à Lyon…) mais a surtout un petit quelque chose en plus qui en fait un personnage extrêmement attachant, ce qui est d’ailleurs confirmé dans le troisième épisode.

Au train où vont les choses et vu le public visé, j’imagine qu’on peut s’attendre à voir ces deux figures se rapprocher, mais si Nari Kusakawa continue de procéder de cette façon (celle qu’elle utilise à la fin de ce volume), je pense que ça va me plaire. C’est très tendre ce qui les unit, très doux ; ça me plaît.



En ce qui concerne les dessins, j’ai déjà fait allusion à la « bogossitude » du professeur Guel alors j’ajouterai juste que, dans l’ensemble, le trait m’a plu. Je retiens le côté très comique de certains oiseaux, côté qui s’accorde parfaitement avec le ton très humoristique de ce premier tome (sauf le dernier épisode, plus grave, plus émouvant). Je retiens également les tenues de Cello, très estivales et c’est amusant, mais en sortant de cette lecture, je garde une image de tongs et de bonne humeur (on voit pas mal les pieds des personnages… ou alors j’ai fait une fixette !).

Le seul reproche que j’aurais à faire à ce manga, c’est le noir et blanc. Je sais que c’est une « convention », mais vu le thème principal et les sujets abordés, qui tournent tous autour de la couleur, la présence de celle-ci aurait été bienvenue… je pense surtout au moment où Cello « aspire » toutes les couleurs des oiseaux… une « vague » blanche sur la page, forcément, ça rend moins bien… Il faut donc s’imaginer toutes ces couleurs… mais je suis un peu nulle pour ça ! On a quand même une jolie couverture bien flashie, c’est déjà ça !



A conseiller aux demoiselles (j’ai envie de dire « évidemment » vu le thème principal, l’héroïne et son rapprochement avec Guel… mais après tout, libre aux damoiseaux de se lancer !), c’est très frais, très agréable… vraiment très sympa !
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La magie d'Opale, tome 1

Un bon manga mais sans grand intérêt, je le trouve drole mais sans fil directeur, je verrai par la suite
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La magie d'Opale, tome 1

Un manga prometteur qui aurait très bien pu bénéficier d'une grande notoriété. L'histoire est originale et plaisante, les personnages attachants et un couple principal captivant. Bref tous les ingrédients nécessaires pour faire d'un shojo une réussite. A essayer si vous ne connaissez pas!
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